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WHO IS LILI BADIN?

De sa mère suédoise, elle a la blondeur, de l’Amérique où elle est née elle a gardé un caractère de pionnière, un goût de l’aventure et du mouvement que son grand père E.Badin n’aurait pas renié, lui qui inventa pour l’aéronautique l’indicateur de vitesse.  

Née en 1958 à Washington et après une petite enfance aux US, Lili Badin sera scolarisée en France vers l’âge de neuf ans et jusqu’à la troisième suivra les cours de l’école Rudolf Steiner à Paris.

Quand on sait que la finalité de cette école alternative a pour but, au travers de l’art et de la créativité personnelle, de faire des adultes et une société plus accomplie, on saisit mieux la liberté ludique qu’à Lili Badin à imaginer ses œuvres ou à les réaliser.

Peinture ou sculpture, elle navigue avec la même passion entre des extrêmes qui loin de l’effrayer, la dynamise. D’un voyage en Chine, elle ramène des pigments anciens dont elle tire ses encres et ses propres couleurs.

 

 

 

 

Des nuances subtiles qui donnent une modernité étrange à ses peintures équestres… Mais la peinture n’est qu’une des facettes d’un souffle qui la porte à tout essayer. Matière végétale, résine, pierre, métal, bronze… Rien ne résiste à son désir d’aller plus loin toujours.

 

Entre maîtrise de la matière dont elle cherche la forme idéale, et techniques diverses, lourdes parfois lorsqu’il s’agit de perforer le fer avec un chalumeau, Lili Badin affronte et se confronte à l’art avec une force et une émotion qui n’est pas sans rappeler d’autres artistes dont c’est sûr, elle a le charisme et l’intensité.

Scolarité à Rudolf Steiner, adolescence entre Paris et les USA.

 

1978  Ecole des BEAUX-ARTS de Paris où elle passe quelques années avec les professeurs Charpentier, César et Etienne Martin, Charles Debord pour la sculpture, Caron pour le dessin et Zavarro pour la peinture.

 

1988  Elève du sculpteur Nicolas Leta à Soissons.

 

1990-1994  Elève du sculpteur Louis Luzt, prix e Rome.

 

1992-1996  Elève du peintre argentin Leopoldo Torres Agüero et de Monique Rozanes, avec laquelle elle collabore sur certaines oeuvres.

 

1993-2000  Création et gérante de la fonderie de Coyolles avec Pierre Terrisse où elle travaille la technique de la cire perdue.

 

2006  Déménagement et installation en Bretagne (Ploubazlanec – Côtes d’Armor)

 

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